A l’ombre d’un moucharabieh, noyés dans les entrelacs d’arabesques et autres volutes, stries et contours de formes griffées à la métaphore érotique renforcent le thème par « La dévoration »
..Rejoindre le corps de l’autre n’est-il pas une forme de cannibalisme où l’on se nourrit de l’autre ?
Montrer sans divulguer à travers ces ajourés, c’est un peu découvrir dans un clair obscur propre aux scènes de volupté, un huis clos défendu entre Secret et Sacré …
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